La Grande-Bretagne a mis fin vendredi à six ans de présence militaire en Irak, qui avait commencé avec l'invasion conduite par les Etats-Unis pour renverser Saddam Hussein. Selon l'accord
signé l'an dernier entre Bagdad et Londres, le reste des forces britanniques, qui étaient au nombre de 46 000 en 2003, a quitté l'Irak cette semaine, a indiqué vendredi à l'AFP l'ambassade de
Grande-Bretagne.La Grande-Bretagne a mis fin vendredi à six ans de présence militaire en Irak, qui avait commencé avec l'invasion conduite par les Etats-Unis pour renverser Saddam Hussein.
Selon l'accord signé l'an dernier entre Bagdad et Londres, le reste des forces britanniques, qui étaient au nombre de 46 000 en 2003, a quitté l'Irak cette semaine, a indiqué vendredi à l'AFP
l'ambassade de Grande-Bretagne.
La Grande-Bretagne a mis fin vendredi à six ans de présence militaire en Irak, qui avait commencé avec l'invasion conduite par les Etats-Unis pour renverser Saddam Hussein. Selon l'accord
signé l'an dernier entre Bagdad et Londres, le reste des forces britanniques, qui étaient au nombre de 46 000 en 2003, a quitté l'Irak cette semaine, a indiqué vendredi à l'AFP l'ambassade
de Grande-Bretagne.
Mais, en revanche, le Parlement irakien n'a pu voter avant de partir en vacances jusqu'au 8 septembre un nouvel accord permettant à un petit contingent de formateurs britannique de rester
afin de former la marine irakienne. Ces derniers, une centaine au total, sont partis au Koweït jusqu'à l'approbation par le Parlement. La majorité des troupes était basée dans la région
méridionale de Bassora.
Durant le mandat du premier ministre Tony Blair, la Grande-Bretagne s'était montrée un allié indéfectible des Etats-Unis, lorsque le président George W. Bush avait ordonné l'invasion de
l'Irak en mars 2003. En six ans, 179 soldats britanniques y ont été tués.