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Mafalda... et moi.

Mafalda... et moi.

 

J'ai grandi, aussi, avec Mafalda. D'abord en lisant la bande dessinée de Quino, dessinateur argentin. A la maison, chez des amis. Je regardais plus les images que je ne lisais les textes.  Pas toujours faciles à lire ! Le monde de Mafalda, cette fillette qui a porté un regard plein de malice sur la société et la politique internationale entre 1964 et 1973, traduite dans une vingtaine de langues, "était très différent", a dit Quino, en regrettant la vie de quartier insouciante des années 60.
Les choses sérieuses et la peur (déjà et encore) du totalitarisme entraient dans mon cerveau de sept ans. Puis je retrouvais Mafalda quand j'avais 13 ans, dans mes cours d'espagnols. Lors d'un voyage à Barcelone en novembre 2004, je m'étais acheté un énorme volume consacrant presque une intégrale des oeuvres de Quino. Intégrale mais... hors-Mafalda ! Il faudra donc que je m'achète un jour quelques histoire de cette petite fille.
L'inauguration d'une statue de Mafalda, l'héroïne de bande dessinée la plus connue d'Amérique latine, en présence de Quino, son créateur, a attiré des centaines de personnes émues et nostalgiques dimanche à Buenos Aires.
"Tout cela m'impressionne beaucoup, je ne sais pas quoi dire", a déclaré le dessinateur Joaquin Salvador Lavado, alias "Quino", 77 ans, visiblement ému, alors qu'on découvrait la statue face à l'immeuble où il avait créé le personnage en 1964, dans le quartier historique de San Telmo.
"Cela me touche de la laisser là, toute seule", a-t-il ajouté en regardant la statue de l'héroïne, oeuvre de Pablo Irrgang, 43 ans, représentée assise sur un banc en robe verte, les mains sur les genoux, comme si elle posait.
J'ai grandi, aussi, avec Mafalda. D'abord en lisant la bande dessinée de Quino, dessinateur argentin. A la maison, chez des amis. Je regardais plus les images que je ne lisais les textes.  Pas toujours faciles à lire ! Le monde de Mafalda, cette fillette qui a porté un regard plein de malice sur la société et la politique internationale entre 1964 et 1973, traduite dans une vingtaine de langues, "était très différent", a dit Quino, en regrettant la vie de quartier insouciante des années 60.

 
Les choses sérieuses et la peur (déjà et encore) du totalitarisme entraient dans mon cerveau de sept ans. Puis je retrouvais Mafalda quand j'avais 13 ans, dans mes cours d'espagnols. Lors d'un voyage à Barcelone en novembre 2004, je m'étais acheté un énorme volume consacrant presque une intégrale des oeuvres de Quino. Intégrale mais... hors-Mafalda ! Il faudra donc que je m'achète un jour quelques histoire de cette petite fille.

 
L'inauguration d'une statue de Mafalda, l'héroïne de bande dessinée la plus connue d'Amérique latine, en présence de Quino, son créateur, a attiré des centaines de personnes émues et nostalgiques dimanche à Buenos Aires.
"Tout cela m'impressionne beaucoup, je ne sais pas quoi dire", a déclaré le dessinateur Joaquin Salvador Lavado, alias "Quino", 77 ans, visiblement ému, alors qu'on découvrait la statue face à l'immeuble où il avait créé le personnage en 1964, dans le quartier historique de San Telmo.

 
"Cela me touche de la laisser là, toute seule", a-t-il ajouté en regardant la statue de l'héroïne, oeuvre de Pablo Irrgang, 43 ans, représentée assise sur un banc en robe verte, les mains sur les genoux, comme si elle posait.