Un point imprécis, sous les tropiques...

3 Novembre 2011

... du Capricorne

Ou du Cancer.

En l'occurence, ce sera sous celui du Capricorne. Exactement, juste en dessous.

Je devais informer plusieurs personnes du parcours prévu pour nos trois semaines en Argentine... au lieu de faire un mail, je me suis dit que ce ne serait pas plus mal d'en causer ici. Ça nous changera de la politique. Entre autres.

Alors moi qui apprécie savoir où je vais à l'avance, cette fois-ci, nous n'avons que les grandes lignes du programme. Et encore, je le vois venir gros comme une casa : on va leur faire danser le tango à ces mêmes lignes ! Bref, comme j'ai pu dire à certains, on se donne pas mal de latitudes. Géographique euphémisme pour dire qu'on n'a rien préparé du tout !

Alors voilà, vous trouverez ci-dessous une petite animation vidéo qui est tout ce que notre voyage ne sera pas : laide, grise et droite. Bidouillée en trois minutes, elle vous donne les grandes lignes et vous montre clairement que nous ne visiterons que le nord du pays :

- arrivée à Buenos Aires le 7 novembre

- après deux nuits on partirait sur Córdoba

- notre but étant de nous poser à Salta (aux alentours du 12/13 novembre), ville du nord-est à partir de laquelle nous ferions plusieurs excursions (le train dans les nuages, un train qui se tortille à 4200 m dans les Andes, mais aussi se perdre dans des déserts de sel, etc...)

- puis ce devrait être, vers le 15 ou 16 novembre, les fameuses chutes d'Iguazú à la frontière avec le Brésil, le Paraguay et donc l'Argentine

- on passerait alors une journée au Brésil pour voir les chutes depuis le pays de Caetano Veloso

- avant de revenir sur Buenos Aires, nous ferions un détour relax pour passer quelques jours sur les plages uruguayennes, au sud de Montevideo (le jour des trente ans de mon eskimo de petite soeur ?)

- nous devrions être de retour, dans la neige et dans les senteurs du vin chaud des marchés de Noël, le samedi 26 novembre à Berlin

Appuyez sur PLAY

Je me suis marré en tapant ces dates car, en les écrivant, je me disais qu'elles devenaient fatalement erronées. Et que rien ne se passerait comme ça. À suivre !